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Depuis le dernier billet, j’ai quitté les iles Galápagos pour retourner à Quito, puis je suis allé vers la Ciudad de Panama (Panama City). En arrivant dans cette très grande métropole, j’ai été surpris de voir des dizaines de tours de condo et de gratte-ciels. C’est une ville hyper développée. La première impression est plutôt surprenante. 
La Ciudad de Panama
Je suis resté en ville pendant une journée et demi. C’est peu, mais j’y reviendrai à la fin de mon séjour au Panama. Pendant ce temps, j’ai quand même eu le temps de visiter le fameux (et fascinant) canal de Panama. Quelle construction impressionnante. 
Le canal de Panama
Je remarque aussi une très grande richesse. Des voitures de luxe, des yachts, des domaines privés… Même Donald Trump y a fait construire une énorme tour au centre-ville. Les gens parlent tous l’anglais et il y a des touristes partout. C’est presque comme les Etats-Unis ici ! La visite de la vieille ville est aussi intéressante. Les fondations qui datent de 1550 environ offrent une vue sur la nouvelle ville en ébullition. Un beau contraste. 
Mon futur bateau
J’avais ensuite un dilemme pour la manière de me rendre à ma prochaine destination (Bocas del Toro) : 7 ou 8 heures d’autobus avec des transferts et des indications incertaines pour 30$ ou 45 minutes de vol pour 85$. Je blague, ce n’est pas un dilemme. Je prends l’avion ! J’ai quand même une petite pensée pour toutes ces fois où c’est l’autre choix que j’avais pris. Ça me fait rire. Je suis en train de vieillir ? Je suis arrivé dans la ville de surfer de Bocas del Toro où je me suis installé dans le hamac suivant : 
Tough life
Dans les jours qui ont suivit, j’ai fait beaucoup de jogging et d’entrainement, mais je suis aussi allé voir les différentes plages. Certaines sont pleines de gringos (touristes), mais d’autres sont désertes et vraiment appréciable. On est toujours récompensé pour aller voir ce qu’il y a un peu plus loin. J’ai rencontré un couple sympathique de chiliens et un canadien. On est allés sur une autre île pendant toute une journée pour explorer. 
En regardant à gauche...
En regardant à droite...
La plage de Red Frog
Regard songeur
On ne peut pas venir à Bocas sans surfer alors je me suis jeté à l’eau pendant des heures et des heures. J’ai bu beaucoup d’eau, mais maintenant je sais surfer ! Quelle belle activité ! Les photos suivantes ont été prises sur une des plages où il y avait de belles vagues (trop grosses pour moi !). Comme vous pouvez voir sur une d’elles, elles étaient trop grosses pour d’autre monde aussi. 
Je fais mieux que ça (not)
Je fais mieux que ça aussi (not)
Ça me ressemble un peu
Plan de match des prochains jours : Je trace vers les montagnes. Je vais retourner vers le ‘main land’ pour aller m’amuser dans la forêt. Il y a des montagnes de 3,000m au Panama, vous le saviez ? Moi non.
À suivre ! Je vous embrasse, Nic
1 Comment
Hola ! Nous sommes restés pendant quelques jours à Isabella. Une belle place pour explorer et pour apprécier les beaux couchers de soleils. Niveau météo : rien à se plaindre. Du beau temps tous les jours ! Pour les 2 photos ci-dessous, c’est pratiquement la même chose, mais je n’arrivais pas à choisir celle que je préfère alors j’ai mis les deux. Ça donne une idée de comment on se sent quand on est sur place. 
Vie difficile 1
Vie difficile 2
Après avoir apprécié la dolce vida, sur Isabella, nous sommes allés vers une nouvelle destination : Santa Cruz. C’est la ‘métropole’ des Galapagos (17,000 personnes). Le bateau prend environ 2 heures. Ce sont les eaux les plus tumultueuses qu’on a eu, mais ce n’est rien de trop dérangeant. Nous sommes allés en ville où il y a des restos partout, des boutiques, des bars et pleins de touristes. Avant de continuer plus loin, un petit medley de photos d’oiseaux. 
Environ 7 pieds de largeur
Et c'est pas au zoo !
C'est drôle de nager avec les pingouins
Et la technique de chasse des blue footed boobies : Ils restent à environ 15 mètres de la surface et survolent. Ensuite ils piquent comme des fous vers l’eau. Le grand plongeon. Puis, après avoir créé le chaos dans l’eau avec leur plongeon et les bulles d’air que ça crée, ils remontent à la surface en attrapant un poisson. Ils pêchent donc en remontant et non en plongeant ! À partir de Santa Cruz (notre dernière île), nous sommes allés vers un centre de tortues. C’est la meilleure place pour en voir beaucoup et voir les plus grosses. Les tortues sont sauvages, mais elles aiment aller à cet endroit parce qu’il y a une végétation favorable. Elles sont vraiment grosses ! 
Big boy
Aussi grosse que moi !
Une petite photo humaine aussi : L’homme responsable du centre de tortues. Très sympathique. 
Le responsable du centre des tortues
Maintenant, 2 petites photos pour montrer à quel point les animaux sont partout autour de nous. Les photos sont banales, mais elles montrent à quel point la nature et l’homme cohabitent dans ces îles. 
Just chillin'
Ce banc est pris. trouve-en un autre !
Dernières visites (et non les moindres) : Des tunnels de lave sur le chemin, puis Tortuga bay. Une énorme plage avec plus d’iguanes que d’humains. Une super façon de clore un périple aux Galapagos. Et c’est quand même drôle quand un iguane passe à côté de toi pendant que tu es assis sur le bord de l’eau. Iguana crossing partout ! 
Découverte des tunnels de lave
Les iguanes se sont fait bronzer plus longtemps que moi
Une scène de la vie des Galapagos (ces 2 photos sont pour toi, m'man !): 
Une scène typique des Galapagos
Une grimace pour la caméra
Des découvertes qui n’ont pas arrêté. Les Galapagos sont uniques au monde. Il faut venir voir. Les photos ne rendent pas justice à l’endroit (comme à chaque fois). Pour ce qui est de sous l'eau, j'ai pris beaucoup de films. Je vous montrerai quand ma connexion internet sera meilleure !
Après les îles, je suis retourné pour une dernière nuit à Quito, puis j’ai pris l’avion pour une nouvelle destination. Je suis rendu au Panama. Mais ça, c’est pour un autre billet ! Je vous embrasse, Nic J’avais de petites attentes en arrivant aux Galápagos, mais je dois dire qu’elles ont toutes été dépassées. Les Galápagos, c’est une autre planète. Rien de moins. Quand on arrive sur les îles, on a déjà un bon feeling. C’est beau, c’est tropical, c’est agréable. Un sentiment de ‘beach bum’. Mais tout devient encore plus intéressant avec le temps qui passe. Parce que venir au Galápagos, c’est vraiment plus que de venir lézarder sur une plage. Parce que les plages sont déjà remplies d’énormes lézards !  L'arrivée à San Cristobal  Il fait la pause pour la caméra On est arrivés à San Cristobal, où on a passé 2 jours. L’île est intéressante. Nous y avons fait nos premières sorties de snorkeling et je suis allé faire de la plongée. L’eau n’est pas la claire que j’ai vu, mais la quantité d’animaux trouvé sous l’eau est absolument imbattable. C’est rare qu’on puisse dire en une plongée qu’on a vu des otaries chasser, une dizaine de requins (white tips et Galápagos sharks (2m !)), des millions de poissons, des tortues de mer énormes, des raies gigantesques, des muraines et tous les autres qu’on voit habituellement (poisson scorpion, oursins, etc.). Et tout se passe juste devant nos yeux ! Ce qui est aussi intéressant, c’est que les oiseaux endémiques (qu’on ne retrouve nulle part ailleurs au monde) sont partout. Les pattes bleues de boobies (oui, des blue feeted boobies !) sont amusantes. Les pélicans sont aussi énormes et partout autour, tout comme pleins d’autres oiseaux intéressants. Plus de photos dans le prochain billet de blog.  Prise en snorkeling. Elle était curieuse et est venue dire bonjour.  Des pieds bleus. Unique au monde.  Il y en a des milions.  La poche rouge se gonfle pour séduire les femelles. Sur les plages, les iguanes marins sont partout. Il faut faire attention de ne pas marcher dessus ! Les otaries aussi. Aucun de ces animaux n’a appris à craindre l’humain alors personne ne fuit quand on approche. On est littéralement collé sur eux. Une petite pensée pour ma mère qui n’aime pas trop être près des lézards : J’ai du en voir environ 1,000,000 depuis que je suis arrivé sur les îles.  Regardez son oeil ! Ça a ensuite été le temps des tortues. En fait, je devrais dire : le temps des GIGA tortues. Des bêtes formidables souvent plus que centenaires. Vraiment intéressant. Le haut fait : Voir la 2e photo ci-dessous !  Relaxation au soleil.  Oui, c'est bien ce que vous pensez. Et oui, c'est vraiment compliqué ! Nous sommes passés comme ça d’une ile à l’autre. Au début San Cristobal, puis Floreana (une ile de 150 habitants), puis ensuite Isabella (beaucoup plus populeuse avec ses 3,000 habitants). Une belle place pour aller découvrir des plages désertes, des volcans énormes et une bonne vibe le soir pour prendre un verre et parler de toutes les choses incroyables qu’on a vues pendant la journée.  C'est ma plage. Je la réclame. De toute façon, il n'y a personne pour venir me la reprendre !  Le cratère de 10km du volcan de la Sierra Negra. Je réalise en écrivant cela qu’il y a trop de stock pour en parler en blog uniquement donc je vous propose quelques photos comme ça, puis je vous informerai quand j’aurai fait une page complète sur les Galápagos.
À suivre aussi dans le prochain billet de blog : Des tortues encore plus grosses, des iguanes qui nagent, des pingouins et pleins d’autres surprises ! Je vous embrasse ! Nic Salut à tous ! Des nouvelles depuis l'Équateur: Les montagnes sont superbes ! Il faut venir voir. Depuis le dernier blogpost, nous sommes allés faire des visites dans des marchés et dans dans des villages. Nous avons ensuite progressé vers nos objectifs: Le Cotopaxi, le Cayambe et le Chimborazo. De belles et hautes montagnes. Premier objectif: Le Cotopaxi: 
Le Cotopaxi, un géant équatorien.
Ce volcan mesure 5,897m. Ce n'est pas une petite colline. Et il ne faut pas le traiter ainsi. Nous sommes arrivés près du volcan dans des conditions météos ordinaires, mais potables. Du vent, mais pas trop de neige. Nous n'avons donc pas attendu très longtemps pour nous lancer à l'assaut du sommet. Pour plusieurs montagnes (les montagnes équatoriennes ne font pas exception), on se lève au début de la nuit et on monte dans le noir. Les crevasses sont plus solides quand elles sont refroidies par la nuit et il y a aussi moins d'éboulis de roches. En d'autres mots, c'est fatigant de se lever à 21h pour aller monter pendant 10h, mais c'est la meilleure façon de faire. Et ça donne de belles photos quand le soleil se lève: 
L'ombre du Cotopaxi à l'aube.
On a ensuite progressé jusqu'au sommet. Une longue montée sur une pente moyenne, mais qui n'arrête jamais. 
Une dernière pente avant le sommet.
Vue du sommet sur le cratère volcanique. Impressionnant malgré qu'on ait moins de la moitié de l'oxygène du niveau de la mer pour respirer ! 
Le sommet du Cotopaxi !
Après notre retour à la base (11h de marche), nous sommes allés dans une hacienda, soit une ancienne maison coloniale avec d'énormes jardins et de la bonne nourriture. Un endroit parfait pour se reposer avant le prochain objectif. Les haciendas équatoriennes sont pour plusieurs fabuleuses et valent vraiment la visite. 
L'entrée d'une des haciendas où nous sommes allés.
On est aussi allé visiter un site Inca. Très intéressant. Fascinant, même. Vous remarquez cette construction de pierre ? Il n'y a aucun mortier ! Personne ne sait vraiment comment ils ont fait. 
Une construction inca sans mortier.
On a même eu droit à la visite des lamas que nous avons nourrit avec des carottes. Ils sont gourmands ! 
Quels bêtes étranges !
Ce fut ensuite le tour de notre 2e objectif: Le Cayambe. C'est un volcan situé directement sur l'Équateur. C'est donc le seul endroit du monde où il y a de la neige sur l'Équateur ! Nous sommes arrivés dans des conditions météos ordinaires, mais potables. Nous avons tout organisé pour l'ascension et nous sommes partis au début de la nuit pour le sommet. Le problème, c'est qu'il y avait une cellule orageuse autour de nous. Partout autour de nous. Des éclairs et du tonnerre. Vraiment pas l'idéal quand on s'approche d'un glacier à 5,000m d'altitude. On ne veut pas répéter l'histoire de la Bolivie ! On a donc pris la décision sécuritaire de retourner vers le camp. Pas de sommet du Cayambe. Safety first. 
La seule vue qu'on aura du Cayambe.
3e (et non le moindre) objectif: Le Chimborazo. 6,310m. Fait intéressant: Vue la forme pas totalement ronde de la Terre, le Chimborazo est le point le plus éloigné du centre de la Terre. C'est plus loin du centre que le mont Everest ! On est arrivés au camp du volcan sous la pluie ! Not good ! Mais on s'est dit qu'on allait quand même attendre pour voir comment tout se passerait. On avait une journée de jeu alors personne n'a paniqué. En se levant à 21h après une mini nuit, on a vu qu'il y avait de l'espoir. De la pluie encore, mais pas trop. On va tenter de grimper la bête ! On a commencé notre progression. Loooooooooonnnnngggggg ! Au moins, la météo a été super bonne et on a pu profiter du ciel étoilé. Inspirant. On est arrivés près du sommet au moment où le soleil s'est levé. Pas mal comme spectacle. 
Lever du soleil sur le Chimborazo.
Et, après 8 heures de montée, nous sommes arrivés sur le sommet du Chimborazo ! Seuls au monde. Quel spectacle ! 
Le sommet du Chimborazo !
On est restés pendant près d'une demi-heure sur le sommet, puis on a débuté la descente. Il ne fallait pas perdre trop de temps parce que les crevasses deviennent plus dangereuses et, particulièrement pour le Chimborazo, les éboulis de roches sont plus fréquents pendant la journée. 
Progression au dessus des nuages.
Comme le Chimborazo est le point le plus loin du centre de la Terre, voici les pieds les plus loins du centre de la Terre !
Total du Chimborazo: 1,400m vertical jusqu'à 6,310m et 12h de travail pour la journée du sommet. Un beau travail. Et beaucoup de fierté !
Des montagnes superbes. De moments inoubliables. Et trop d'histoires pour tout raconter ! Prochaine étape: aller me reposer et visiter les iles Galapagos. C'est le temps de nouvelles aventures. Même si la montagne me manque déjà ! Je vous embrasse ! Nic Je suis arrivé en Équateur juste à temps. Je suis parti avec une température de -10 degrés. Le lendemain, il faisait -40 avec le facteur vent à Montréal ! Bye bye tout le monde, on se revoir en mars ! En moins d’une journée, je suis arrivé dans la capitale de l’Équateur : Quito. C’est une ville sympathique où je me suis promené sans aucune difficulté. Les gens sont sympathiques et la température est bonne. La visite de la vielle ville a été bien intéressante. La ville de Quito a été fondée en 1534, soit la même année que le Canada a été découvert ! Il y a des églises magnifiques et plusieurs allées agréables où on peut se promener. Un bon feeling ! 
La vue de la vielle ville de Quito.
La grande cathédrale.
Un couple amoureux même si le gars ne sourit pas !
Après la ville, nous sommes allés visiter Otavalo. Une petite ville où nous sommes allés à un peu plus de 3,400m pour nous acclimater. Une promenade agréable nous a mené à une belle vue sur un des volcans. Pratiquement toutes les montagnes ici sont des volcans alors c’est très intéressant comme paysages. 
Un des cratères de la région de Otavalo.
Le centre-ville de Otavalo.
On a visité une jolie Hacienda, soit une maison coloniale où les espagnols vivaient. Grands jardins et fontaines. Joli ! 
Promenade dans la Hacienda.
Dernière visite : Le marché. Nous sommes allé visiter un marché des animaux. Tout est à vendre : Vaches, cochons, cochons d’indes, lapins, chiens, poules… Un genre de gros chaos où tout s’échange. Très intéressant. 
Cochons à vendre !
Chiots à vendre !
Dès demain, nous irons vers les montagnes. Premier objectif : Cotopaxi (5,897 m). C’est le temps d’aller jouer dans les montagnes !
Je vous embrasse ! Nic Je sais que ça fait longtemps que je n’ai pas écris, mais il faut me pardonner. Là où j’étais, il n’y a absolument aucune connexion internet. Pas de téléphone non plus. Pas d’électricité non plus. L’aventure, la vraie. Mais avant de parler des rencontres fascinantes de l’Éthiopie, je peux survoler ma visite de la grande capitale, Addis Abeba. C’est une grande ville développée et organisée. J’y ai fait une visite d’une journée. Le ‘Mercato’, le plus grand marché ouvert d’Afrique a été très intéressant. Les cathédrales aussi. C’est un des seuls pays d’Afrique à n’avoir jamais été colonisé. Très intéressant. 
Côté musée, je suis allé voir Lucy. Oui, Lucy. C’est un australopithèque de 3,2 millions d’années. C’est la preuve de l’évolution de l’homme depuis le singe jusqu’à l’homo sapiens. Fascinant. 
Voici Salam, un bébé de 2,6 million d'années !
Je suis aussi allé rencontre le prêtre sympathique de la ‘Holly Trinity Church’. Une belle rencontre. Les gens sont sympathiques. Ils ont des traits uniques aussi. Un mélange africain, indien et arabe. Un beau mélange. 
Les branches d'eucalyptus sont transportées de la montagne vers la ville. Un travail extrêmement exigent et fait uniquement par des femmes.
Le prêtre sympathique de l'église 'Holly Trinity'.
Ensuite, ça a été le temps d’aller vers les tribus. En chemin, nous avons fait un arrêt dans un parc naturel où certains des plus grands crocodiles du monde sont présents. Des monstres de 5 à 6 mètres. Nous y avons vu beaucoup d’oiseaux et des pêcheurs fous qui sont dans l’eau jusqu’à la taille. Risqué, surtout que les crocos étaient à tout juste 100 mètres ! 
Nous avons ensuite atteint la Omo Valley. C’est là que nous avons débuté les rencontres avec les différentes tribus. Il y a 61 langues en Ethiopie. Et chaque langue est propre à une tribu distincte, à des coutumes et à des apparences physiques complètements différentes. 
Une visite de marché chez les Dorzé.
Des gens timides, mais contents de se faire prendre en photo !
Mais les photos des tribus seront pour un prochain blogpost ! Il y en a trop pour tout énumérer ici alors je vais y consacrer une page complète. Ce que je peux dire d’emblée : Des rencontres incroyablement fascinantes et renversantes. Pratiquement aucun touriste. Des guerriers, des initiations, des scarifications, des plateaux d’argile aux lèvres et des chants africains uniques. Les photos dans le prochain billet !
Joyeux Noel à tous ! Je vous embrasse ! Nic Salut à tous ! Beaucoup de choses se sont passées depuis le dernier blogpost. Nous sommes en fait partis dans les montagnes. Et elles sont belles les montagnes autrichiennes ! Avec seulement 2 heures de route, nous nous sommes retrouvés dans un 'chalet' (lire: Maison de 3 étages avec sauna) face aux montagnes. Et quand je dis face aux montagnes, c'est vraiment devant elles. Phil n'a eu qu'a regarder par la fenêtre des cuisines pour voir les conditions de neige.  Le village de Lienz près des montagnes. La place pour le vin chaud de noel ! Journée 1 au chalet: On a commencé par une belle journée de rando. Nous sommes partis avec les raquettes et nous avons monté jusqu'à environ 2,500m d'altitude. Superbes vues sur les montagnes environnantes. La journée n'a pas été facile parce qu'il fallait vraiment faire notre chemin dans la neige. L'activité fallait par contre 100 fois la peine. Voyez ci-dessous:  En soirée, nous avons fait quelques photos:   Nous avons ensuite tout verrouillé et fermé les lumières. C'est le temps de Krampuss. Je n'avais jamais entendu parler de cette tradition avant d'arriver en Autriche. Il s'agit en fait de gens des différents villages de la région qui se déguisent et qui font peur aux gens. C'est apparemment le côté 'mauvais' de Noel avant la venue de St-Nicolas pour la célébration des fêtes. Traditionnellement, il s'agit de 'monstres' avec des cloches (au moins on les entends arriver) qui vont aux maisons et qui s'en prennent aux gens qui sont dans la rue. Évidemment, beaucoup (beaucoup) d'alcool est impliqué alors les Krampuss peuvent devenir de plus en plus violents alors que la soirée avance. Dans le petit village de Lienz seulement, il y a eu 53 blessés dû aux Krampuss. Pas de blague ! C'est n'importe quoi ! L'affaire, c'est que quelqu'un (Phil) a 'oublié' (volontairement) de verrouiller la porte. Quand on a entendu leurs cloches autour de la maison, on s'est dit: Ok, ils sont là. Mais quand ils sont entrés dans la maison, on s'est dit: Oh merde !! 10 gars habillés en monstre se sont retrouvés dans la maison avec nous ! Heureusement, ils n'ont pas été violents (leur soirée commençait il faut croire). On a même pu discuter avec eux pendant qu'ils ont tous pris 3 ou 4 shooters chacun du schnapps de Phil ! Journée 2 (après s'être un peu remis de la visite de la veille): Nous sommes allés skier. Quelles belles conditions ! Les montagnes ont été superbes. Vraiment superbes. On a profité de belles pistes pas trop glacées et on a mangé un schnitzel (pas certain pour l'orthographe) sur la terrasse du centre de ski. Pour souper: De la truite fraiche des rivières autrichiennes.  Vu parfaite pendant une journée parfaite ! Journée 3 (et non la moindre): On est allé faire du ski de rando. Un rêve pour moi. Je m'étais toujours dit que j'allais faire ça une fois dans ma vie. Et c'est arrivé ! Et je veux le refaire ! On est partis de la vallée et on a monté les 930m verticaux pour nous rendre à 3,000m d'altitude sur une montagne complètement déserte. Belle météo, belle vue, belle compagnie.  En route vers les sommet. On voit Phil sur la photo ! Après avoir atteint le sommet et avoir apprécié la vue magnifique des montagnes environnantes, nous avons clippé les fixations des skis et nous sommes redescendus en ski alpin. Le rêve ! Juste assez de neige, une belle poudreuse et la joie de pouvoir tracer ses propres lignes. 3 heures de montée et moins d'une heure de descente. Le ski est clairement plus rapide que la raquette !  Est-ce que ça peut vraiment être mieux ?  Vu du sommet du Bos Ring. Donc c'est ce qui résume mon temps dans les montagnes et mon temps en Autriche. Il faudra que je revienne, c'est certain. J'ai été accueilli comme un roi et on a joué dans les montagnes. Que demander de plus ? La visite a été rapide, mais tellement appréciable.
Prochaine étape, prochaine destination. Time to go to the Omo Valley of Ethiopia. Regardez la photo juste au dessus ici et dites vous que je serai au chaud en Afrique dans 2 jours ! Merci Vroni et Phil ! Un million de fois au moins. Je vous embrasse ! Nic Guten tag à tous ! Je suis bien arrivé en Autriche. En fait, je suis arrivé dans la capitale de la Slovénie Ljubljana (qui peut le prononcer sans se tromper ?) et nous sommes allés à Klagenfurt directement. Ça a été mon camp de base depuis que je suis arrivé. Pour la première journée, Phil m'a donné une carte et les indications pour me rendre en ville. Je n'avais aucune attente. Je ne savais pas à quoi m'attendre. Alors j'ai été plus que surpris de voir une super belle ville européenne avec de belles façades et un esprit de Noel. Bon, ce n'est pas encore blanc, mais on a quand même l'esprit des fêtes. J'avais aussi oublié que les centre-villes sont piétonniers en Europe. Ça devrait être comme ça partout ! 
Une des nombreuses églises du centre de Klagenfurt.
Les rues piétonnières du centre-ville.
Le seul arbre qui a encore des feuilles.
J'ai marché pendant des heures en me perdant et en appréciant les cafés et les boulangeries. Ce fut une belle journée de découvertes. J'ai eu un coup de coeur en découvrant le canal qui se rend jusqu'au lac de Klagenfurt. Une belle promenade où je retournerai jogger, c'est certain. 
La promenade le long du canal. C'est ici que les gens du Ironman nagent (mais pas en décembre !).
Pour information, toutes les photos ont été prises avec un grand-angle. C'est mon nouvel objectif et je suis super content de sa performance. Je l'avais acheté en pensant aux villes et aux montagnes. Pour les villes, c'est confirmé que j'apprécie. Pour les montagnes, je verrai dans les prochains jours ! 
Moment de réflexion à Klagenfurt
Ce soir on retourne jouer au tennis. Demain on va partir vers les montagnes pour quelques jours. Si la neige est bonne, on fera du ski. Sinon, on va trouver d'autres solutions. Mais on va s'amuser dans le back-country.
À suivre pour d'autres photos et histoires ! Je vous embrasse ! Nic Premier post de mon nouveau blog ! Beaucoup d'engouement ! C'est un beau moment. C'est un beau moment parce que j'ai passé 3 belles semaines à Montréal avec la famille et les amis. 3 semaines pour organiser l'aventure qui approche et pour faire les millions de trucs à faire. C'est vite passé trois semaines. Aussi parce qu'après autant d'émotions en Guinée, il faut plus qu'une journée de repos pour reprendre toute l'énergie. J'ai quand même eu l'opportunité de passé du bon temps dans un chalet et j'ai eu une belle surprise à la semaine 2: Une tempête de neige ! Et ce n'est même pas plus blague. Je m'ennuyais de ça. Et j'ai été servi ! Regardez comment c'est beau la neige : 
Et une belle entrée à pelleter à la pelle ! 
Donc je suis prêt pour la prochaine aventure. Départ demain pour la Slovénie et l'Autriche. Je retourne à l'aéroport. Le feeling est bon parce que j'ai vraiment hâte d'aller vivre cette nouvelle étape et que je serai de retour à Noel. Plus facile de dire au revoir quand on se revoit dans 1 mois et non dans 8 mois !
Time to fly ! Je vous embrasse |
Nic DumesnilPour me suivre dans mes voyages, mes expéditions, mes aventures et mes projets. Archives
October 2022
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